Si vous souhaitez découvrir toutes nos vidéos, sans passer par les liens du blog, vous pouvez passer par cette adresse : http://www.dailymotion.com/user/Manga
De cette manière, vous pourrez revoir toutes nos anciennes prestations vidéo ludiques (si on peut appeler comme ça ^^), aussi bien les tests vidéo commentées que les extraits, mais aussi les reprises en musique des meilleures mélodies de jeux vidéo. Terre de Jeux prône l'ouverture et nous allons continuer dans ce sens, à la bonne franquette comme on dit "franchouillardement" dans notre beau pays :)
Une petite news du week-end pour vous annoncer la sortie, ce jour, de Footmania n°1. Destiné aux djeun'z, ce nouveau magazine (ben oui, c'est le numéro 1) vous propose un panorama complet du monde du foot, avec un dossier sur la Coupe du Monde, avec ses stars du moment, le duel Ronaldo-Messi ou encore les chances des bleus. Il est également important pour moi, dans la mesure où il s'agit du premier magazine "non jeu vidéo" auquel je contribue. Voili, voilou ;)
Étant enfant (et encore maintenant d'ailleurs), j'ai toujours été féru des dessins animé mettant en scène Tom & Jerry. Je m'éclatais devant les malheurs de ce bon vieux Tom et c'est tout naturellement que je me suis tourné vers les jeux vidéo mettant en scène les deux héros de cartoon. Petit retour sur l'un de ces titres !
Si vous n'avez pas compris, cela veut dire que cette biographie de Takahashi Meijin est une vraie merveille :) Pour vous la procurer : http://www.editionspixnlove.fr !
Rendez-vous prochainement pour la vidéo complète !
La console Super Nintendo a été pour beaucoup l'une des plus fabuleuses de l'époque "pré-3D". Entre les fantastiques Mario, Final Fantasy ou encore Street Fighter, cette petite, mais non moins classieuse, 16 bits a toujours su attirer la foule, au détriment de la Megadrive, pourtant excellente elle aussi. La série des Tortues Ninja, débutée sur Nes et Game Boy a continué son bonhomme de chemin avec cette adaptation absolument incontournable.
Dès l'intro de ce beat'em all, le ton est donné. On nous ressort en version vidéoludique l'introduction de la série animée avec une musique pêchue, des flash aveuglants et un découpage somptueux. Le premier contact, avant même d'avoir toucher la manette est donc excellent, et dévoile qu'un grand soin à été porté par Konami. Puis vient l'écran titre. Ce dernier se constitue d'un fond rouge avec la ville de New York en arrière plan. Les modes de jeux sont les suivants : 1 joueur, 2 joueurs, Time Trial, Versus et enfin Options. Ce dernier est bien garni, puisqu'il est possible de régler un bon nombre de paramètres, dont la possibilité de donner un style plus proche du comics américain d'origine que du dessin animé de nos célèbres ninjas à carapaces. Cela se matérialise simplement par le fait qu'en mode "comics", les yeux sont blancs comme dans la B.D. et les couleurs plus délavées. Le mode Time Trial, comme son nom l'indique, est un mode où vous devez aller le plus vite pour finir les niveaux. Le mode Versus est simplement un mode où vous pouvez jouer à deux joueurs l'un contre l'autre dans un petit "kumité" (tournoi en japonais) mais rien de bien folichon. Pour vraiment s'éclater, il faut être de préférence deux et se lancer dans l'aventure.
Et c'est là que le mot "convivialité" prend tout son sens. Imaginez un jeu graphiquement somptueux, où la maniabilité ne fait à aucun moment défaut. Turtles in Time est ce jeu. On dévore les niveaux, bien que le but est toujours le même de foncer en frappant, sans se lasser. Les décors sont variés, puisqu'on nous fait passer d'un complexe technologique (le Technodrome) à un bateau pirate, en passant par l'époque du Far West. Bref, largement de quoi combler le plus difficile d'entre vous. Les parties à deux sont ultra funs, et les animations sont à mourir de rire et extrêmement fluides. Franchement, on ne peut pas reprocher grand chose à ce Turtles in Time au niveau technique.
La bande sonore et les bruitages sont dans l'optique du jeu, c'est à dire bourrins et bien pétant comme le reste. Ils mettent tout de suite dans l'ambiance et l'immersion n'en est que plus facile. Mention spéciale au célèbre " Cowabunga!".
Le petit défaut qu'on pourrait émettre est sa courte durée de vie. Et oui, le jeu est tellement fabuleux qu'on le termine d'une traite en très peu de temps, cela n'empêche pas de le refaire comme moi et mon frangin qui, à l'époque, l'avions bien fini une bonne trentaine de fois. Mais si vous aimez les jeux de combats par niveaux, et qui plus est les tortues ninja, alors là vous allez être comblés. C'est moi qui vous le dis. Un jeu excellent, indispensable sur Super Nintendo.
Editeur : Take 2 Interactive
Développeur : Rockstar San Diego
Date de sortie : 21 mai 2010
1911, à la frontière américano-mexicaine, une petite ville nommée Armadillo s'apprête à vivre un évènement. Un homme, ancien hors-la-loi, est contraint par le gouvernement de retrouver ses frères d'arme d'antan et de les faire taire à jamais. Votre mission, si vous l'acceptez (et il serait bien bête de ne pas acquiescer) est d'incarner cet homme, John Marston et de vivre sa quête, longue et éprouvante, pour la rédemption. Bienvenue dans Red Dead Redemption.
Dès les premiers instants, on ne peut qu'être soufflé par le niveau de détails apporté par Rockstar San Diego. Il s'agit probablement d'un des plus beaux jeux à ce jour. Reprenant le moteur 3D de GTA IV, les développeurs sont parvenus à l'optimiser en accouchant d'un titre au cachet unique. Que ce soit les visages, les vêtements, la modélisation générale, les effets (l'eau, le tonnerre, la pluie qui ruisselle sur l'écran), les animations incroyables (les points d'impact sont très nombreux) et la sensation de vie, Red Dead Redemption met une tarte à plus de 95% des jeux, exceptés des titres fabuleux comme Uncharted 2 ou encore les Gears of War. Le niveau de détails est impressionnant, tout comme la qualité de la narration, toujours parfaite dans un jeu Rockstar.
John Marston débarque donc dans ce petit patelin qu'est Armadillo et on est comme notre gaillard charismatique : complètement perdu dans cette immensité géographique. Et puis petit à petit, on trouve nos marques, on fait connaissance avec de nombreux personnages, dont certains complètement loufoques (voire tarés) et portés sur cette époque "cradingue" qu'est le Far-West du début des années 1900. La locomotive est présente, tout comme l'électricité, les gens font de plus en plus appel à la science mais les charlatans vantant leurs produits miracles sont encore présents et n'hésitent pas à arnaquer les plus naïfs… on peut tour à tour boire un verre au saloon du coin, prendre une chambre, acheter et vendre bon nombre d'éléments (fusils, munitions, potions… mais aussi des peaux d'animaux que vous dépecez vous-même dans les plaines arides) ou encore lire les dernières nouvelles du jour en achetant le journal à 1 $.
Les missions, quant à elles, sont toutes diversifiées. On passe pêle-mêle d'un nettoyage de clan à une folle épopée sauvage en passant par le sauvetage d'une diligence. Tout dans Red Dead Redemption a été étudié au détail près, comme l'éco-système qui régit son monde. Ne vous étonnez pas de croiser des chacals et autres espèces animales très dangereuses (les lynx sont redoutables). La pampa regorge d'une bonne trentaine d'espèces (si ce n'est plus) qui réagissent différemment si vous êtes à cheval ou à pied. Jamais un jeu de cette ampleur n'a paru aussi vivant. Lors de vos chevauchées, vous tombez sur des brigands qui attaquent une femme sans défense, ou encore un homme qui se met à vous tirer dessus pour piquer votre cheval. Il y a mille et une choses à faire dans Red Dead Redemption, mais à l'inverse de GTA IV… vous n'êtes jamais à l'abri d'une quelconque menace, ou en tout cas, celle-ci se fait rapidement sentir. L'Ouest sauvage campé dans le jeu de Rockstar nous raconte une vie difficile, souvent violente... rappelant les combats terribles ayant eu lieu entre les cowboys et les indiens, mais bien des années avant l'époque de RDR. Les fusillades et pendaisons sont légions et les duels en face à face nombreux (l'échec est synonyme de mort). Les gens passaient leur temps en travaillant ardemment et les quelques moments de plaisir étaient matérialisés par des parties de cartes (blackjack, poker…) ou d'autres activités comme le jeu du couteau ou le lancer de fer de cheval, quand ce n'était pas une bonne cuite au comptoir. C'est sans doute pour cela que l'ambiance de Red Dead Redemption fonctionne si bien.
On pourrait parler des heures de ce jeu, de ces incessants et nerveux gunfights, de votre réputation qui influe directement sur l'opinion et la réaction des gens à votre égard ou encore des prostituées omniprésentes (et qu'il faut parfois sauver d'hommes violents). Et que dire de sa durée de vie, de sa bande sonore , ses doublages et bruitages (le son du tonnerre est phénoménal), du mode multi pharaonique et surpuissant… Rockstar, une nouvelle fois, plombe tous ses concurrents ou presque en donnant vie à un jeu d'une hypnotique immersion. Après avoir vu la vidéo, il y a de fortes chances que vous jetiez votre dévolu sur ce titre, qui est probablement l'un si ce n'est celui de l'année.
La bande de joyeux drilles des Editions Pix'n Love (http://www.editionspixnlove.fr) s'est amusé à défier le 16shot du fameux Takahashi Meijin ! Voilà une vidéo pas piquée des pixels !
Et croyez-moi, ce bouquin vaut plus que son pesant de cacahuètes ! C'est le premier d'une longue série sur les grands noms du jeu vidéo !
A l'occasion de la future sortie d'Hydro Thunder Hurricane, voilà une review commentée de l'original sur Dreamcast. De l'arcade à la puissance 10 et du fun par paquet !
Florent Gorges, des Editions Pix'n Love, a participé au dernier podcast de l'excellent site Gameblog intitulé "Le Japon pète les plombs". L'occasion pour la fine équipe de présenter bon nombre de jeux nippons complètement débiles. En écoutant ce podcast, j'ai souhaité redécouvrir ces jeux au style innimitable afin de vous en proposer quelques vidéos. Le premier titre se nomme PEPSIMAN.
Il y a maintenant plus de trois ans (déjà !), Capcom lançait sa nouvelle licence intitulée Lost Planet. Dans ce premier volet, le joueur était immergé dans un monde où la glace et la neige faisaient partie intégrante du paysage. Malgré un scénario on ne peut plus téléphoné, on se prenait vite au plaisir de dégommer des "Akryds", ces créatures tentaculaires dont les teintes orangées signalent les points faibles. Au sol ou à bord de méchas, on avait accès à tout un arsenal transformant l'écran en feu d'artifice du 14 juillet. D'ailleurs, les explosions étaient une vraie baffe technique pour l'époque ! Maintenant que nous sommes en 2010 et que la concurrence fait rage, voyons voir comment s'en sort ce second épisode !
Bon, je vous le donne en mille ! Après avoir passé un bon paquet d'heures dessus, Lost Planet 2 n'a tout simplement pas été construit sur le même modèle que son illustre aîné. Si vous adorez les expériences en solo, passez votre chemin ! Le titre de Capcom procure de vraies sensations avant tout lors des parties en ligne ou à la rigueur, en local. Pour comprendre, sachez que le jeu est divisé en deux parties : la campagne bien entendu (qui n'est qu'une succession de missions mais je vais y revenir) ainsi qu'un mode multijoueurs dont le but est de foutre des roustes à vos potes… ou pas. La trame est on ne peut plus simpliste : imaginez la planète Eden III peuplée par des Akryds de toutes formes et de toutes tailles, dont la substance organique (la thermo-énergie) est recherchée par plusieurs factions d'hommes (les pirates des neiges, de la jungle… etc) qui se foutent sur la gueule pour conquérir un territoire toujours plus grand et récupérer l'énergie tant convoitée. Pas besoin d'avoir fait math sup' pour piger.
Lost Planet 2, si on en croit les notes de la presse, souffle le chaud et froid. D'un côté, il y a les amateurs de online qui s'y sont parfaitement retrouvés et les autres qui ne parviennent pas à comprendre le choix de Capcom. Pourtant, à moins d'être totalement hermétiques au genre, il faut avouer que ça fonctionne pas mal. Dès le départ, on foule un paysage enneigé et glacial pour combattre quelques Akryds, histoire de se mettre en jambe et de se familiariser avec le gameplay. Dès lors, le terrain devient plus vaste (sans être très étendu) et demeure surtout très varié ! D'une montagne, on passe à une jungle luxuriante aux torrents limpides, suivi de niveaux à l'architecture industrielle, en passant par un désert et même une station spatiale ! Sur ce point, Lost Planet 2 fait très fort en variant énormément son environnement. Les déplacements ressemblent trait pour trait à ce qu'on a pu voir dans le premier volet. Ainsi, le personnage est un peu lourd et peut utiliser de nombreuses armes. Le grappin est toujours de la partie pour atteindre des plateformes surélevées. On regrette par contre que les lieux manquent de grandeur, ils donnent l'illusion d'être très vastes mais certaines missions se finissent en quelques minutes. Un peu dommage...
Au cours du jeu, vous devez donc lutter contre d'autres factions (des hommes munis de combinaisons tout aussi solides que les vôtres) ou terrasser des Akryds, dont certains boss atteignent une taille absolument gigantesque. Et c'est là que Lost Planet 2 prend tout son sens. A plusieurs, avec des coéquipiers humains, c'est un régal de contourner l'ennemi, de faire diversion, de couvrir ses partenaires, j'en passe et des meilleures. Au fur et à mesure de votre périple, les factions et Akryds deviennent de plus en plus résistantes. Il est donc préférable de ne pas foncer tête baissée, même si les premiers niveaux laissent à penser le contraire. Par contre, n'espérez pas prendre du plaisir en solo, tant l'intelligence artificielle est complètement à la rue. On sent bien que les environnements ouverts posent problème à celle-ci et il n'est pas rare de se retrouver en situation critique sans que vos coéquipiers ne daignent bouger un pouce. Pire, quand vous êtes paumés, ils vous suivent bêtement jusqu'à ce que vous trouvez la sortie (je pense notamment à un niveau un peu labyrinthique composé d'escaliers et de portes en fer à détruire). Dans ces conditions, c'est bien simple, il est presque impensable de s'amuser en solo, dans la mesure où on a l'impression (et je pèse mes mots) d'être complètement seul face à une armée entière. Et la difficulté s'en ressent grandement, car le jeu n'a pas été pensé de la sorte.
Lost Planet 2 propose un arsenal ultra complet et la présence d'armures de combat et de boucliers est un plus non négligeable. Comme je le disais en début de test, il est également possible de grimper à bord de robots appelés Vital Suits (ou VS) qu'il faut activer et parfois réparer pour les utiliser à bon escient. En face d'un boss Akryd, leur présence est plus que bienvenue tant la force de frappe de ces engins mécaniques est supérieure à la plupart des armes que vous trouverez sur le champ de bataille. On peut signaler le bon point du respawn qui ne dure que deux secondes avant que votre personnage ne réapparaisse pour retourner au charbon. D'ailleurs, tout comme Lost Planet, les checkpoints sont représentés par des points de contrôle qu'il faut activer au fur et à mesure que vous avancez dans la mission. Une fois que vous avez terminé la campagne, il est possible de s'adonner à un multijoueur tonitruant (pouvant comporter jusqu'à 16 joueurs) dont les cartes sont parfaitement pensées pour s'amuser. Les modes de jeu sont nombreux et les amateurs du genre se feront plaisir.
Pour terminer, sachez que le jeu est vraiment beau ! Le moteur de Capcom, le MT Framework remplit plutôt bien son contrat, avec des effets de toute beauté (notamment les explosions, superbes !). Certes, on note de ci de là des textures très moyennes, quelques effets ratés et l'animation aurait pu être plus coulée mais l'ensemble accroche suffisamment l'oeil pour en faire un titre de première ordre. Les phases avec les boss Akryd sont vraiment prenantes, tout comme la bande son qui plonge le joueur dans une ambiance guerrière teinté de SF avec des séquences faisant penser à du AVATAR (notamment lors de l'intro). Maintenant que vous avez lu ce test, je vous laisse découvrir le montage vidéo vous présentant quelques situations et décors ! Si vous aimez les jeux online, LP2 devrait vous convenir. Le cas contraire, la partie solo est trop bancale pour lâcher ses deniers dans cette production. D'où les deux notes…
Il commence à faire chaud, l'été arrive ! Les nanas se dénudent un tantinet et laissent apprécier leurs formes. L'occasion pour nous de vous présenter The Firemen sur Super Nintendo, sur fond d'un des clips toujours aussi débiles d'"Orsika" comme on aime l'appeler...